7 février 2014

Lecture

Il y a plusieurs mois je lisais un résumé de livre sur la page fb d’une copine. Ma prochaine démarche suite à cette lecture était de commander ce livre auprès de mes parents en Suisse pour que je puisse le lire en français, car je tiens à ce que mon mari s’y plonge aussi !
Vous avec le choix entre la version anglaise, allemande et française. Up to you… L’original est en anglais avec le titre « Swiss Watching : Inside the Land of Milk and Money », en français il se nomme “Le Suissologue” et en allemand, si j’ai bien compris, c’est  « Der Schweizerversteher »
Je suis encore au début du récit, mais je peux déjà vous dire que TOUT helvète, expat ou future expat en Suisse devrait le lire ! Premièrement on se fait rappeler l’histoire de notre petit pays si influant (car la plupart entre nous avons laissé les leçons d’histoire à l’école…) et pour nous les Suisses, on se voit dans un miroir ou un film ! Un peu comme avec le film des années septante « Les Faiseurs de Suisse » ou « Die Schweizermacher ». Vous ne l’avez pas vu ? Malgré son âge, il faut le voir ! On y rit mais y pleure aussi… et on n’est pas toujours très fière des réactions de certains compatriotes.
Revenons à ma lecture actuelle ; Diccon Bewes, l’auteur de ce livre, est un anglais ayant élu domicile en Suisse. Il a parcouru et étudié mon pays! Avec son regard externe, il décrit nos mœurs, habitudes, coutumes, etc. et cela avec un humour à dérider n’importe qui, je vous l’assure ! Combien de fois mon mari tourne sa tête pour voir ce qui se passe quand je glousse ou éclate de rire toute seule derrière les pages de mon livre. Et, comme dans le film cité ci-dessus, on doit secouer de temps en temps la tête, car on découvre des comportements qui ne sont pas forcément fait pour être fière.
Mais je suis certaine qu’il donne envie à bien des étrangers à venir visiter cette enclave au milieu de la grande Europe ; pour ses paysages, ses produits de qualités et ses habitants. Malgré les gros changements, comme la croissance de l’insécurité, ça reste un pays charmant et accueillant. (Mais oui, je prêche  pour ma paroisse, un peu de « cocorico » n’est pas interdit et j'aime mon petit pays!)

Bonne lecture !